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FEAR, peur en anglais, dont l'acronyme est: Fausse Evidence Apparaissant Réelle. Cette peur nous paralyse: claustrophobie (peur des petits espaces), arachnophobie (peur des araignées), ornithophobie (peur des oiseaux), entomophobie (peur des insectes), ophidiophobie (peur des serpents), cynophobie (peur des chiens), zoophobie (peur des animaux), thanatophobie (peur de la mort), kénophobie (peur de l’obscurité), etc. Plus qu'une peur, on appelle cela phobie car les réactions en présence de l'objet phobogène, ou par anticipation d'y être exposé, sont excessives, incontrôlables et cela entraîne une grande souffrance chez la personne qui perturbe sa vie de tous les jours. Je vous retranscris des retours de séances dans lesquels vous vous reconnaitrez peut être.

Il y a quelques temps maintenant, une propriétaire d'une jument, que vous pouvez voir en photo, est venue faire une séance parce qu'elle se sentait impuissante face aux tics à l'appui et au tire au renard de son cheval qui sont des signes de stress. Dans cet article, je vais vous raconter un peu plus l'histoire de cette jument, ses symptômes, le déroulé de la séance en transfert et l'évolution du cheval post séance.

Pour donner une idée de chiffre, une femme sur dix fait une fausse couche et le risque de faire une fausse couche augmente avec l'âge. La principale cause est une malformation du fœtus, un fœtus non viable. Cela est naturel, pourra-t-on vous dire, cependant quand cela vous arrive il y a un véritable traumatisme pour la femme qui l'a vécu et pour le futur fœtus. À ce propos, une loi a été promulguée le 7 juillet 2023 pour favoriser l’accompagnement psychologique des femmes victimes d'une interruption spontanée de grossesse.